J'ai testé : le vernis Sephora "Shrimp Cocktail"

Sephora "Shrimp Cocktail"

Voici une petite photo témoin de ma première application rapide d'un (des nombreux) vernis dont j'ai fait l'acquisition pendant les soldes de cet été 2012.

Le produit en question : le vernis "Shrimp Cocktail" de la marque-enseigne Sephora - un rose métallisé aux micro-particules pailletées.

J'insiste sur les micro-particules, car les paillettes sont réellement présentes dans la couleur et permettent un important reflet aux allures métallisées argentées sur un beau vernis rose classique. Néanmoins, la taille de ces paillettes n'altère pas la texture du vernis, qui reste bien homogène et ne crée ni paquets, ni déformations à la surface de l'ongle, comme certains pourraient le craindre.

Personnellement, c'est la formule de vernis à ongles que je préfère. Une couleur quasi-opaque dès la première application (je n'ai posé qu'une seule couche et il faut réellement regarder l'ongle à la loupe pour chercher une parcelle transparente, mais vous pouvez toujours en repasser une seconde si vous désirer un effet plus chargé). L'effet pailleté diffus et intégralement présent dans la couleur est celui que je préfère (j'avais déjà mentionné cet effet à propos du vernis corail 1s gel de Bourjois, dont je raffole toujours autant).

J'adore également le pinceau panoramique, tout comme celui du vernis 1s gel de Bourjois : pratique pour une application en un seul passage ou presque. Il couvre en tout cas une grande surface de l'ongle du premier coup. C'est toujours agréable. 

Quant à la tenue, certes il ne fait pas de miracles, mais ne lui jetez pas la pierre, car j'ai déjà essayé de nombreux autres vernis bien plus chers qui s'écaillent bien plus vite que celui-ci. On le placera donc dans la moyenne des vernis à ongles en terme de résistance.

De nombreuses personnes ne sont pas fans des vernis de la marque-enseigne Sephora (il faut avouer que 4,90€ pour une contenance de 5ml, cela fait un peu cher le vernis...). C'est pour cette raison que je profite des soldes pour fouiller dans les bacs et éventuellement dénicher la perle rare (à un prix imbattable dans certains cas !). J'ai en effet fait l'acquisition de ce vernis et de quelques autres pour la somme de 1€ l'unité dans un magasin de l'enseigne Sephora. 

La couleur en question est, au moment où je rédige cet article, encore disponible sur le site internet Sephora.fr au prix de 2,20€. 

Le prix soldé varie souvent en fonction des différents magasins de la même enseigne que vous visitez, ainsi que sur le site internet (ne me demandez pas pourquoi... peut-être une question de stocks à écouler, mystère). Vous ne trouvez pas votre bonheur du premier coup dans un magasin ? Ne vous découragez pas et n'hésitez pas à barouder dans les autres adresses de la marque pour finalement trouver la perle rare ! 

Après tout, les soldes sont un véritable sport, c'est bien connu !

J'ai testé : le stylo illuminateur "L'Oréal Lumi" VS. l'illuminateur Elf en tube

Stylo illuminateur L'Oréal Lumi (11,70€, grandes surfaces et parfumeries)

Il y a quelques semaines, L'Oréal sortait sa nouvelle gamme pour le teint, intitulée "Lumi" (base de teint, fond de teint et stylo illuminateur).

Le principe : illuminer les zones naturellement frappées par le soleil, pour un effet bonne mine et un contraste encore plus marqué avec les zones plus bronzées de la peau. A appliquer sur le sommet des joues, sur l'arrête du nez pour un effet plus affiné, sous les sourcils pour réveiller le regard, voire également au sommet des lèvres, pour une bouche plus pulpeuse. 

Ce qu'on attend du produit : un réel effet illuminateur (réflecteur de lumière), qui tienne longtemps, sans pour autant ressembler à une boule disco (que le produit soit fonctionnel de jour comme en soirée).

Le format : un stylo-applicateur, dont on tourne l'extrémité pour que le produit se diffuse sur pinceau à l'autre bout. Un bon point, on évite ainsi d'en mettre partout, on maîtrise également la bonne quantité de produit que l'on désire appliquer. Cela n'empêche malgré tout pas d'y mettre ensuite les doigts pour estomper le trait sur le visage (à moins d'utiliser une éponge ou un autre pinceau, mais on reconnaîtra que c'est tout de même plus simple au doigt).

La texture : ni trop liquide, ni trop collante, elle est quasi-identique à celle d'un fond de teint classique, la couvrance en moins. On constaterait presque un fini légèrement poudré une fois le produit estompé.

E.L.F. Shimmering Facial Whip (1€, elfcosmetics.com)

Afin d'évaluer le réel rendu de ce produit, je vous propose de le comparer à l'un de ceux que je considère comme le meilleur (et de loin le moins cher) de tout ceux que j'ai essayés jusqu'à présent (liquides et poudres) : l'illuminateur en tube d'Elf (qui existe à présent en stick et en stylo très comparable au produit L'Oréal en question).

On constate à première vue que l'illuminateur en tube d'Elf est bien plus liquide et difficile à doser (le produit à également tendance à se séparer en deux matières quand le tube repose trop longtemps sans être utilisé : il faut donc bien l'agiter afin de retrouver le mélange idéal de particules réfléchissantes ainsi que le liquide de base).

Le stylo L'Oréal Lumi remporte la partie sur ce point.

Au niveau du rendu à proprement parler, c'est tout autre chose ! Je vous laisse vous faire une idée par vous-même... Alors que l'illuminateur Elf est réellement visible sur la peau, le stylo L'Oréal Lumi ne transparaît qu'à peine (et c'est très certainement car j'ai fortement poussé la dose de produit pour le rendu de la photo...). Impossible de savoir si l'effet tient sur la durée... puisque l'effet est quasi-inexistant dès l'application !

En résumé : UN GROS NON au stylo illuminateur L'Oréal Lumi à 11,70€ qui n'illumine strictement rien une fois correctement fondu sur la peau, alors que pour 1€, on peut faire l'acquisition d'une quantité bien plus importante de produit avec l'illuminateur Elf en tube, qui lui fait son travail sans avoir à chercher des reflets avec une loupe (et sans pour autant ressembler à une boule disco, ce ne sont pas des paillettes, mais bien des particules irisées). Le tout est de savoir bien doser (ce qui est une autre histoire). Quant à la tenue du produit Elf, ce n'est malheureusement pas encore ça... je cherche donc encore l'illuminateur parfait !

Des suggestions ?

Un grand merci à vous : je suis en page d'accueil de Hellocoton !

Quelle surprise, alors que les commentaires s'emballent sur le blog, que de constater que mon précédent article s'insurgeant sur le phénomène Lolita est passé en page d'accueil, rubrique "société" sur le site Hellocoton ! 

"Stop au phénomène Lolita" en page d'accueil de Hellocoton !

Tout cela n'aurait jamais été possible sans vous et votre participation active, sans compter les nombreux messages de soutien et d'encouragement que j'ai reçu de votre part à tous et à toutes.

Pour tout cela, je vous dis un grand :

Stop au phénomène Lolita !

Je n'avais pas prévu de rédiger ce post, mais ce a quoi j'ai assisté ce midi dans un bus parisien m'a profondément remuée. 

Une jeune fille, à qui je donnerais tout juste dix ans, des traits encore bien enfantins et  sans aucun signe apparent d'une puberté déjà bien présente, sort de son petit sac tout l'attirail de la parfaite fashionista. Un "make-up bag" dont je prends l'ampleur de l'importance du contenu, au fur et à mesure que les minutes passent. 

Miroir compact, gloss, mascara noir...

Le gloss seul pourrait passer. De nombreuses grandes enseignes proposent des produits aux couleurs attrayantes et aux parfums acidulés pour les plus jeunes. 

Le mascara ultra-black de maman, par contre, commence déjà à me faire réfléchir... 

"Lolita malgré moi", 2005

Je n'ai pas pour habitude de dévisager mes voisins dans les transports en communs, mais en sortant du bus, je me retourne et constate alors l'ampleur des dégâts, si je puis dire...

Un maquillage "full face", du fond de teint au blush rose vif sans oublier le plus voyant de tous ces éléments : un fard à paupières bleu-gris métallique, tranchant avec une peau assez mate.

C'en est trop, mon esprit est traumatisé par tant de ravages faits sur le visage de cette petite fille qui serait sublime au naturel, mais qui prend soudainement des airs de clown, pour ne pas dire vulgaire. 

Notons que son maquillage tranchait également très fortement avec sa tenue vestimentaire : une petite robe rose, pour une fois, tout à fait adaptée à sa tranche d'âge. Vous comprendrez donc, je l'espère, ma révolte intérieure. Quel gâchis. 

Malheureusement, rien d'étonnant à ce phénomène lorsque de nombreuses marques proposent de plus en plus de produits cosmétiques (sans parler des accessoires vestimentaires) initialement à destination des adultes mais revisités en version "junior". 

Magazine "Vogue" France, édition décembre 2010

Et lorsque les grands magazines de mode s'en mêlent et organisent des shooting photos afin d'accréditer cette nouvelle tendance, c'en est trop. Nous avons tous en mémoire les quelques pages de Vogue mettant en scène de très jeunes filles à peine pubères dans des positions lascives, maquillées à outrance et accoutrées de vêtements et accessoires que jamais au grand jamais elles ne devraient pouvoir porter à leur âge, à l'exception d'un court essayage pour faire "comme maman" lorsque celle-ci se prépare, c'est-à-dire sous la surveillance d'un adulte et dans le cadre de la sphère privée. 

Une réaction des plus hautes sphères politique avait alors déclenché de la part de l'UNESCO la proposition d'une charte visant à protéger l'image des enfants exposées dans divers médias.

Vladimir Nabokov, Lolita

"Lolita", 1997 (par Adrian Lyne)

"Lolita", 1962 (par Stanley Kubrick)

Ne devrait-on pas rappeler qu'à la base, le phénomène "Lolita" tire son nom d'un film (adapté deux fois au cinéma), lui-même inspiré d'un roman érotique (Lolita, de Vladimir Nabokov), mettant en scène une jeune fille surjouant sa sexualité naissante dans le but de s'attirer les faveur d'un homme d'âge mûr. Rien de très moralement correct on en conviendra, et qui ne peut certainement pas nous laisser indifférent lorsque l'on constate que cette mode n'est plus cantonnée au domaine de la fiction, mais déborde bel et bien sur notre réalité à présent. 

Je n'aime pas me présentée en "mère la morale", mais cette situation m'a réellement moralement bouleversée.  J'ai tout simplement trouvé inapproprié qu'une fillette de cet âge soit autorisée à porter autant de maquillage en journée, d'autant plus pour sortir en pleine rue et au contact d'on ne sait quels genres d'individus. Non sans paraître paranoïaque, il faut rester réaliste. Combien d'individus dérangés et pervers seraient prêts à commettre l'irréparable sur de simple jeunes filles. Autant ne pas tenter leurs esprits malades...

Je n'ai que 26 ans et je ne m'estime donc pas si âgée, si "dépassée" par notre époque. Malgré tout, en remontant le long du fil de mes souvenirs, je me rappelle avoir porté un léger baume à lèvres brillant dès la classe de Troisième, gardant mes premiers vrais débuts dans le monde des cosmétiques pour mes années lycée, sans exagérer non plus (je ne dois avoir porté du mascara noir qu'en Terminale, c'est dire ! Je me contentais auparavant d'un mascara transparent, car je craignais que mes cils (naturellement longs et foncés) ne soient trop voyants pour mon âge. 

Je serais heureuse de connaître votre avis sur le sujet. Avez-vous déjà été confronté (personnellement ou dans votre entourage) à ce phénomène "Lolita" ? Avez-vous déjà croisé des jeunes filles dont vous pensiez qu'elles s'étaient perdues dans une section du magasin qui ne leur était pas destinée, ou portant un maquillage/une tenue outrancier(ère) ?

Bilan de juin et premiers jours de juillet : merci les soldes...

De gauche à droite : vernis "Color" de chez Les Copines, "Crackle" de Debby, 

"Colorama" par Gemey-Maybelline et mini vernis Sephora. 

Pineau-applicateur "Lumi" par L'Oréal.

Parce-que comme disait Napoléon, un bon dessin vaut mieux qu'un long discours, voici ce qui ressort massivement de mes achats, non pas du moins passé (comme pourrait le laisser entendre le titre) mais de la dernière semaine (c'est pire !).

Quoi, qu'ouïs-je ? Quelqu'un a dit "Craquage onglesque ?" Non non, on dira qu'on a juste profité des soldes. Ah, qu'elles ont bon dos... quand elles ne nous poussent pas de façon déraisonnable à la surconsommation.

Car comme après chaque sortie shopping à prix réduits, on est tentés par de nombreuses réductions qui nous font de l'oeil et nous crient de toutes leurs forces et leurs couleurs attrayantes que NON, on ne pourra pas vivre sans ces produits au rabais ! Et au final, devinez quoi ? Ils finissent pas s'agglutiner dans le fond de nos placard.

C'est pourquoi j'ai bien l'intention de mettre à profit chaque euro que j'ai dépensé pour ces petits vernis. Un premier bon point : je n'ai pris que des couleurs que je ne possédais pas auparavant. C'est déjà ça (on se justifie comme on peut, hein).

Et parce-que dans ce blog, on joue aussi aux mots-croisés : au jeu de "Trouvez l'intrus", vous aurez également repéré au premier plan le stylo illuminateur "Lumi" de L'Oréal.

Là aussi, je disposais d'un coupon de réduction de 5€ valable jusqu'au 30 juin, et devinez quoi ? Je l'ai retrouvé le jour même au fond d'une de mes pochettes porte-carte ! Ahhhh... comment avais-je pu l'oublier là ? Parce-que 5€ chez L'Oréal, ce n'est vraiment pas du luxe, on est d'accord.

Ainsi, sur le chemin de Monoprix, je passais en revue les gammes de produits que la marque proposait. Fond de teint ? J'en ai suffisamment pour survivre à l'été et probablement préparer mon hibernation de la saison prochaine. Fards à paupière ? No comment (je ne viens pas tout juste de craquer pour la Naked 2 palette ?!). Blush ? Leur gamme n'est pas fantastique et mes blush Elf sont bien plus variés et pigmentés. Rouges à lèvres. Ca suffit, j'ai déjà trop de doublons dans les mêmes gammes de couleurs, idem pour les gloss (sans parlé de mon nouveau grand amour, le LipJunkie de Urban Decay, également fourni dans la Naked 2 palette). Mascara ? Il y en a à la pelle dans mon tiroir et sachant qu'on est censé les remplacer tous les 3 mois (perso, faut pas pousser... tant qu'il y a encore du produit et que ce n'est pas totalement sec, j'utilise : c'est la crise, mince !). Me voilà donc en train de me dire : mais c'est un illumineur dont j'ai vraiment besoin, étape que je zappe toujours tous les matins car je ne dispose pas encore du produit totalement adéquat.

C'est l'occasion, car L'Oréal vient de sortir toute une gamme de produits "Lumi" (base, fond de teint, illumineur...) sur ce thème pour l'été. Le moment où jamais !

D'après mes premiers swatches, il semble fournir une bonne dose de nacres tout en se fondant bien sur la peau. Après, ce n'est qu'en le portant régulièrement que je pourrais vous en faire une revue plus en détail et plus fidèle ! Je vais le mettre à l'épreuve, et c'est promis je vous tiens au courant !

Bon plan : Color Sensational Popstick avec votre magazine Public !

Gemey-Maybelline n'en finit plus avec les bons plans ces derniers jours. 

Simultanément à la réduction chez Monoprix (voir mon article précédent), Gemey-Maybelline assure la promotion de ses trois derniers rouges à lèvres Color Sensational de la collection Popsticks, aux couleurs acidulées mais au rendu très léger et glossy.

Vous pourrez ainsi découvrir l'un de ces trois petits bijoux au choix avec votre magazine Public, chez votre marchand de journaux, dès le 22 juin, pour 2,50€ de plus !

(Visuel issu de la fan page officielle de Gemey-Maybelline sur Facebook)

Bon plan : Promos Gemey-Maybelline à Monoprix

Du 15 au 30 juin, Monoprix lance une promotion exceptionnelle sur une sélection de produits de la marque Gemey-Maybelline (visuel ci-dessous, issu du compte Twitter de la grande surface).

Le détail de l'offre : -20% de réduction sur les produits suivants :

• Les vernis Mini-Colorama
• Les rouges à lèvres Color-Sensational Popsticks (collection été 2012)
• Les ombres à paupières crème Color Tatoo
• Les crayons eyeliners Masterdrama

C'est l'occasion de se faire plaisir, de craquer sur les couleurs pastels et corail de cet été : mettre un peu de soleil dans notre look alors qu'il se fait si rare dans le ciel !